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Aqme
07/04/2006 19:55
Biographie
AqME est un groupe à part. A part dans l'état d'esprit, à part dans l'attitude, à part dans le son. Souvent à contre-courant, souvent radical dans ses choix. Toujours droit. Immuable.
En 1999, Aqme enregistre sa première démo, « University of Nowhere » six mois après s’être formé. Deux ans plus tard, Charlotte rejoint le groupe, les choses sérieuses démarrent, AqME passe à la vitesse supérieure.
Pour son premier album, « Sombres Efforts », le groupe ne choisit pas la facilité. Sans le soutien d’un label, les AqME partent s'enfermer en studio, en Suède, avec Daniel Bergstrand (Meshuggah, In Flames). Les musiciens sont en huit clos, mais délivrent un disque étrangement vaste. Dès son retour, le groupe continue à marquer son indépendance en signant avec le Label Indépendant At(h)ome. « Sombres Efforts » sort le 10 Septembre 2002 et s'installe dans le paysage rock français à force de concerts. AqME joue partout, tout le temps : 90 dates dans la sueur, avec comme final un show brûlant devant 10 000 personnes au Festival des Eurockéennes de Belfort.
Quelques mois plus tard, après avoir enchaîné les kilomètres, l'urgence du studio les prend déjà au ventre. AqME est un groupe qui compose vite parce qu’il en a besoin, tout en s’imposant une qualité constante. Retour en Suède en 2004 pour « Polaroids & Pornographie », second opus un cran plus lourd dans les mots, mais plus aérien dans le son. Plus ouvert sur le monde extérieur, plus fiévreux, l'album marque une réelle progression de la part du groupe. Progression qui se confirmera sur scène où AqME prend une ampleur hors de proportion, retourne les salles partout où il passe, et s'offre un Elysée-Montmartre complet. Dans la salle, Nicolas Sirkis (Indochine) est installé au balcon. Il suit le groupe depuis quelques temps déjà et les a invité sur son Festival itinérant, le X-Festival, en 2003.
Pour son troisième album, AqME change tout. La collaboration avec Daniel Bergstrand a atteint ses limites, le groupe décide de rester sur Paris et de travailler avec Steve Prestage (Black Sabbath, Peter Gabriel mais aussi De Palmas).
« La Fin des Temps » est enregistré en trente jours, étalés sur une période de trois mois dans des conditions totalement nouvelles. Le groupe n’est plus replié sur lui-même. Chacun rentre à la maison le soir, quand ils ne jouent pas au Printemps de Bourges, à Solidays ou au Furia Sound Festival. Chaque coupure permet de prendre du recul sur ce qui a déjà été produit, chaque concert renforce un peu plus l’envie de composer le meilleur album possible. Les relations avec Prestage sont simples, les AqME se sentent plus à l’aise. Et pourtant, le disque n’en est pas moins sombre, moins pesant. Bien au contraire. « La Fin des Temps » est porté par un fil rouge : la fin, la mort. La mort de tout, de l’humain (« Rien Au Monde »), de l’ignorance (« Une Vie Pour Rien »), de l’insouciance (« La Fin des Temps »), de l’amour (« Une Dernière Fois »), des rêves (« Des Illusions »). L’acceptation que tout a une fin, aussi dure soit-elle à digérer. Autour de ce sujet, comme porté par son poids, le groupe entier s’est réuni sur certains textes. Le premier single, « Pas Assez Loin », s’inscrit dans cette ambiance tout en mettant en valeur la facilité déroutante du groupe à répandre des mélodies pop imparables et accrocheuses. Lancé en pâture aux fans sur quelques dates, le titre a déjà prouvé son efficacité immédiate. Si certains artistes ont besoin de s’isoler, de s’assombrir pour créer quelque chose de triste et de beau, AqME n’est pas de ceux-là. C’est la différence entre l’être et le paraître. Entre « être » dans un état et « se mettre » dans un état. AqME ne se met pas dans un état. AqME ne fait pas semblant. N’a pas peur de ce qu’il a dans le ventre. Quitte à s’éloigner encore un peu plus de la norme et de ce que l’on attend aujourd’hui d’un groupe de Rock français.
Une attitude qui fait écho à celle de Indochine à qui AqME a offert un titre, « Aujourd'hui je pleure » pour son nouvel album. Les deux groupes se sont retrouvés en studio au grand complet pour l’enregistrer, en prise directe.
Nouveau producteur, nouvelle collaboration, nouvelle méthode de travail, « La Fin des Temps » pourrait bien être un nouveau départ. Après avoir généré et renforcé un noyau de fans inconditionnels, AqME s’apprête à conquérir un nouveau public. Sans jamais dévier, toujours fidèle à son univers et l’identité qu’il a construite, le groupe revient. Plus que jamais sombre et fort.
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Discographie de children of bodom
Titre : Are you dead yet ? (9/10)
Date : 2005
1. Living Dead Beat 2. Are You Dead Yet? 3. If You Want Peace... Prepare for War 4. Punch Me I Bleed 5. In Your Face 6. Next in Line 7. Bastards Of Bodom 8. Trashed, Lost & Strungout 9. We're Not Gonna Fall
Titre : TRASHED, LOST & STRUNGOUT DVD-EP
Date : 2004
1. Trashed, Lost & Strungout video* 2. Knuckleduster* 3. Bed Of Nails (Alice Cooper cover) 4. She Is Beautiful (Andrew W.K. cover) 5. Andrew W.K. Greets COB 6. Angels Don't Kill* 7. Trashed & Lost in Helsinki 8. Sixpounder video 9. Downfall live at Tuska video* 10. Everytime I Die live at Tuska video*
Titre : HATE CREW DEATHROLL (9.5/10)
Date : 2003
1. Needled 24/7 2. Sixpounder 3. Chokehold (Cocked'N'Loaded) 4. Bodom Beach Terror 5. Angels Don't Kill 6. Triple Corpse Hammerblow 7. You're Better Off Dead! 8. Lil' Bloodred Ridin' Hood 9. Hate Crew Deathroll
Titre : FOLLOW THE REAPER
Date : 2000
1. Follow The Reaper 2. Bodom After Midnight 3. Children Of Decadence 4. Everytime I Die 5. Mask Of Sanity 6. Taste Of My Scythe 7. Hate Me! 8. Northern Comfort 9. Kissing The Shadows
Titre : HATEBREEDER
Date : 1999
1. Warheart 2. Silent Night, Bodom Night 3. Hatebreeder 4. Bed Of Razors 5. Towards Dead End 6. Black Widow 7. Wrath Within 8. Children Of Bodom 9. Downfall
Titre : SOMETHING WILD
Date : 1997
1. Deadnight Warrior 2. In The Shadows 3. Red Light In My Eyes, pt 1 4. Red Light In My Eyes, pt 2 5. Lake Bodom 6. The Nail 7. Touch Like Angel Of Death
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Satyricon
04/04/2006 19:31
Biographie
Satyricon se forme à Oslo (Norvège) durant l’année 1991. Le groupe s’articule autour du célèbre binôme constitué par Satyr (aka Sigurd Wongraven) et Frost (aka Kjetil Vidar Haraldstad). Le premier se charge de la quasi-totalité du travail de composition, à savoir le chant, les parties basse, les parties guitare, et les claviers. Frost se charge, quant à lui, de marteler les fûts avec le style qu’on lui reconnaîtra unanimement par la suite. Côtoyant la scène Black Métal émergeante, Satyricon enregistrera plusieurs démos en 1992 qui recueilleront les louanges du milieu. Malgré leur jeune âge, les norvégiens se sentent fins prêts à franchir le cap du premier album. Ce sera chose faite en 1993 avec Dark Medieval Times, album marquant le début de la longue coopération entre le groupe et le label Moonfog. Après avoir montré leurs capacités dans le genre true black, Satyr et Frost ne comptent cependant pas en rester là. C’est avec la participation de Samoth (Emperor) en tant que bassiste que sort The Shadowthrone en 1994, dans lequel le côté nordique/viking prend toute son ampleur. Il est donc naturel de voir Satyricon se rapprocher humainement d’Enslaved, comme l’atteste le split CD The Forest Is My Throne réalisé en 1995. Toujours désireux d’évoluer au fil des albums, le combo va franchir une nouvelle étape cruciale pour sa carrière en 1996 avec Nemesis Divina. Outre sa violence accrue, l’album compte cette fois-ci un dénommé Kveldulv au poste de guitariste, plus connu sous le pseudonyme de Nocturno Culto au sein des mythiques Darkthrone. Satyr ne cache pas qu’il veut perpétuellement aller de l’avant. Se rôdant sur deux EP, le sieur Wongraven va rompre radicalement avec l’imagerie médiévalo-scandinave du genre en 1999 sur Rebel Extravaganza. Satyricon bénéficie alors de l’appui des pointures du métal que sont Pantera, ces derniers leur proposant de les accompagner à travers le monde (cf. le DVD Roadkill Extravaganza) en tant que première partie. Puis en 2002, l’album Volcano viendra définitivement couronner leur statut d’explorateur du Black Métal. Bien qu’étant décrié par les puristes en raison de l’intégration d’éléments thrash, le succès est encore et toujours au rendez-vous.
Commentaire de black-metal.vip-blog.com (08/05/2006 21:46) :
il faut remettre l'article à jour :) Satyricon vient de sortir un
nouvel album :) Très bien dailleurs ;)
http://black-metal.vip-blog.com
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Children of Bodom
04/04/2006 19:26
Children of Bodom est un groupe de Death metal mélodique finlandais.
Les cinq membres du groupe sont originaires d’Espoo, une ville finlandaise voisine à Helsinki. Le groupe ne s’appelle ainsi que depuis 1997, avant quoi il s’appelait Inearthed.
Biographie
Le groupe Inearthed fut fondé en 1993 par Alexi Laiho et Jaska Raatikainen, deux bons amis d'enfance. Le groupe n'enregistra que des démos jusqu'en 1996, année où Alexi se chercha un claviériste, qu'il trouvera en l'excellent Janne Wirman. Après cela, et avec l'aide du jeune bassiste Henkka "Blacksmith" Seppälä, Inearthed change de nom et prend celui de Children of Bodom. Le nom est inspiré d'un lac en Finlande, célèbre pour un triple meurtre commis en 1960 sur les berges du lac. Ce meurtre commence seulement aujourd'hui a s'éclaircir(2004-2005).
Après un discret mais puissant premier album Something Wild produit par Spinefarm Records. La maison d'édition, impressionné par le mélange de power / black metal, fit de la sortie de l'album une grande sortie nationale en Finlande, qui aidera beaucoup le groupe à ses débuts. Something Wild est comme cité plus haut, un bon mélange de power / black metal, mélangé avec du clavier. Le genre est totalement nouveau.
Un peu plus tard en (1997), Children of Bodom signe chez Nuclear Blast.
En 1999 sort leur deuxième album, Hatebreeder, qui les révèle au monde entier et lance leur carrière pour de bon. Cet album est considéré comme étant leur meilleur et le sommet du groupe de part ses rythmes de guitare variés et mélodiques, le clavier de Janne Wirman de plus en plus utilisé, des solos et la grande forme de chacun des membres du groupe. Les chansons sont vraiment uniques en leur genre et plusieurs de celles sur Hatebreeder sont connues comme les chansons fétiches de Children of Bodom.
Children of Bodom effectue également cette année là une tournée au Japon avec In Flames et Sinergy (le deuxième groupe d'Alexi), où le groupe enregistre son album live, "Tokyo Warhearts". Selon Alexi, l'enregistrement de cet album live a été la meilleure façon pour tout les membres du groupes de se surpasser et de s'améliorer. Le groupe repart donc du Japon gonflé à bloc.
L’année suivante, le groupe sort Follow the Reaper qui connait également un franc succès notamment avec la désormais célèbre chanson Hate Me!. Le style de l'album ressemble beaucoup à celui d'Hatebreeder, au grand plaisir des fans de plus en plus nombreux. Pendant les deux années suivantes, Children of Bodom fait de grandes tournées en Europe et aux USA.
Début 2003, sort Hate Crew Deathroll, le quatrième album. C'est également avec cet album que le groupe prend le surnom de "Hate Crew" (l'équipage de la Haine) d'où les fréquentes initiales COBHC, signifiant Children of Bodom Hate Crew. Le groupe embarque alors dans une nouvelle tournée mondiale. Mais durant cette fébrile tournée, Alexander Kuoppala a quitté le groupe. Le choc fut grand pour le groupe et surtout pour Alexi, qui était un ami personnel d'Alexander. Ce dernier est remplacé par l'excellent Roope Latvala, le guitariste de Waltari et Sinergy, entre autres. Pionnier du métal en Finlande et idole d'Alexi, il a joué dans un nombre sympathique de groupes.
En 2004 sort l'EP Trashed, Lost And Strungout, avec Roope Latvala à la guitare rythmique. Le style musical continue sur la lancée de Hate Crew Deathroll, à savoir une musique orientée Thrash/Death métal plus commerciale.
2005, le groupe sort au mois d'août une démo uniquement en Finlande contenant la chanson In your face, diffusée prématurément à travers internet et une reprise de la chanteuse pop américaine Britney Spears, "Oops I did it again".
En Septembre 2005 est sorti le 5ème album du groupe, Are You Dead Yet?, contenant 9 chansons. Cet album change de style comparé a Follow the Reaper mais les riffs du dieu Alexi sont toujours aussi puissants, ses solos, toujours aussi créatifs, mélodiques et techniques. Le synthé est omniprésent, Janne se débrouille très bien. Bref, cet album est excellent. Ce lancement d'album est très attendu parmi les fans du monde entier et sera suivi d'une tournée mondiale qui passera par l'Australie, le Japon, les États-Unis, le Canada, l'Europe et la Scandinavie.
Le symbole du groupe est "the Reaper" (la faucheuse), présente sur tous les couvertures d'albums.
Depuis Something Wild, le groupe a connu beaucoup de succès et certains peuvent même désormais qualifier Children of Bodom de groupe commercial. Il y a désormais de très nombreux fans à travers le monde qui arborent désormais fièrement un sweat du groupe ou encore apprennent à la guitare les riffs rapides et mélodiques d'Alexi Laiho
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Discographie de murderdolls :
Titre : Beyond the valley of the murderdolls
Date : 2002
01-Slit my wrist
02-Twist my sister
03-Dead in hollywood
04-Love at first fright
05-People hate me
06-she was a teenage zombie
07-Die my bride
08-Grave robbing usa
09-197666
10-Dawn of the dead
11-Let's go to war
12-Dressed to depress
13-Kill miss america
14-B movie scream queen
15-Mother fucker, I don't care
Commentaire de vincent (09/09/2006 21:16) :
ma préféré c "love at first fright" !!!!!!!!
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